LE VENIN a procédé à l’excavation de son terrier musical pour en déterrer huit pépites qu’il a rassemblées sur Auto-construction Mixtape, un premier effort sur disque autoréalisé qui voit le jour chez Simone Records.  

Commentaires entendus entre les branches suite à l’écoute de la galette : « C’est la meilleure affaire que t’as entendue de ta vie » « Écoute pis tu vas le savoir » « Risqué et pop, les sonorités abrasives se mélangent aux mélodies accrocheuses » « Si Justice, Malajube, The Dare, Post Malone, Xavier Caféine pis 100 gecs avaient fait un enfant dans une genre d’orgie, ça donnerait LE VENIN »  

Né d’une volonté de revoir les codes de la pop québécoise, LE VENIN (Antoine Boily-Duguay), producteur et réalisateur fort de plusieurs collaborations studio avec entre autres Hubert Lenoir, Jérôme 50 et Robert Robert, propose un projet décapant et accrocheur. 

Hip hop, électro, musique industrielle et rock sont parmi les influences hautes en couleurs de ce projet, ma foi, complètement incroyable si vous me le demandez ben franchement (j’écris ma propre bio, c’est cool hein?). Tant qu'à avoir votre attention, je vais vous mettre au défi de vous ouvrir à quelque chose de différent pis à vous prêter au jeu, vous allez peut-être aimer ça. Pis sinon, vous pourrez dire que vous détestez ça à tous vos amis pis c'est ben correct, mais vous pourriez aussi être de grands visionnaires pis vous acheter le droit de dire : « Moi, je suivais LE VENIN dès son premier album, avant que ça devienne big ». Ça se place super bien dans une conversation pour avoir l’air d’un bon hipster qui connaît toute avant tout le monde.