La chanson D’l'ouvrage est le premier extrait radio de l'album Swinger d'la patte du Cayen Keven Landry. Ce titre rassembleur est une ode au bonheur qui réconforte et rassemble. Inspirée d'une expression courante chez les Cayens, D’l’ouvrage est un texte positif et rythmé, aux sonorités country folk acadien avec, comme message, la capacité de persévérer et de trouver du positif même dans les moments difficiles.

D’l’ouvrage, chanté avec un accent acadien nord côtier bien distinct, capture l'essence et l'authenticité de la culture cayenne. Les Cayens, autrefois révoltés contre le roi, ont condamné les R de leur langage, en les remplaçant par des K. Ainsi, un simple "gkos mekci" chez les Cayens est bien plus qu'une expression de remerciement, c'est un symbole de leur identité forte et de leur histoire marquante.  

“ D’l’ouvrage est une invitation à prendre la vie avec un grain de sel, à voguer au gré du vent et des saisons. Une belle façon de s'encourager et de se valoriser avec une grosse touche humoriste et d’autodérision. Même quand ça ne va pas, même si on est loin, même si parfois la vie nous semble un peu plus dure, ce n'est pas grave, il y a de l’ouvrage. ” - Keven Landry  

Du minerai pis du poisson
Du fun pis d’la boisson
Une ride en machine sur un lac dans l’nord
L’été quand y fait beau
Une virée en bateau
Déranger les touristes parce qu’on chante trop fort  

Keven Landry baigne dans la musique depuis son enfance. Originaire de Havre-Saint-Pierre. Keven est auteur-compositeur-interprète avec un style réunissant son identité de cayen et la country folk. Avec plusieurs cordes à son arc artistique, il est aussi multi-instrumentaliste. Keven Landry a collaboré avec de nombreux artistes au Québec, dont Les frères Déraspe (Quand sort le soleil, Quand je prends la mer), Karo Laurendeau (Jamais assez), Ian Couture (Quand sort le soleil, Spot à feu d’camp, Notre histoire), Claude Cormier (M’évader, À boire, Je chante pour toi). Au fil des ans, le Cayen d’origine a partagé la scène avec des artistes tel que Jonathan Painchaud, La Bottine souriante, Cayouche, 1755 et Bodhaktan.