Après avoir lancé l’extrait La ligne d’arrivée l’an dernier, l’infatigable Marco Calliari partage Grand bison, extrait de Peur pourpre, son 7e album solo à paraître le 9 mai. Mettant en vedette Beatrice Deer aux chants de gorge et Paul Cargnello à l’harmonica, la chanson a été inspirée par une expérience de hutte à sudation (sweat lodge) lors d’une résidence de création entre autochtones et allochtones en 2018. Calliari a toujours démontré que la seule langue universelle qui importe est celle de la musique, celle qui réunit et qui brise les frontières.

Réalisé par Paul Cargnello, Peur pourpre est un album à la fois audacieux et franc, un premier album en français, parsemé d’italien, d’espagnol et d’anglais et un nouveau chapitre qui s’ouvre pour ce troubadour rassembleur. Peur pourpre est un clin d’œil à des tonnes d’influences qui ont marqué et façonné Marco Calliari, de Bowie à Fred Fortin en passant par Charlebois et les Colocs. La fougue et l’énergie que déploie Marco Calliari sur scène tirent leur origine de ses racines italiennes. Québécois, fils d’immigrants, héritier de ce double bagage culturel, sa musique est une ode au folklore italien qu’il modernise à sa guise.

À la fois auteur, compositeur, interprète, ses mélodies festives s’inspirent d’une variété de styles provenant des quatre coins du monde. Au cours de ses 36 ans de carrière, Marco a brillé à l’international comme au Québec. Il a trimballé sa guitare dans les meilleurs festivals faisant danser jusqu’à 70 000 personnes au son de ses rythmes endiablés. Plus d’une fois, il a partagé la scène avec les grands noms de la chanson tels que Paul Piché, Louise Forestier et Robert Charlebois, alors que quatre de ses sept albums solo ont été nommés au Gala de l’ADISQ.