2025-10-23
The Mirrors Were Right
Hush
De
la scène musicale montréalaise émerge Hush, un trio dont l’univers singulier se déploie dès le premier extrait The Mirrors Were Right, prélude envoûtant à leur album à venir.
À mi-chemin entre la prière pop et la méditation existentielle, cette pièce met en lumière tout le savoir-faire du groupe, guitares lumineuses aux reflets changeants, percussions analogiques qui se déforment comme des souvenirs lointains, vagues de synthétiseurs d’inspiration kosmische et harmonies vaporeuses qui se déploient dans un espace sonore suspendu entre veille et sommeil.
La voix de Paige Barlow y agit comme une incantation murmurée, transportant l’auditeur dans un univers rempli de mystère : « The sky is our mirror, made of sweet dreams… which myth are you living ? » Les paroles lui sont venues alors qu’elle repensait à de longues périodes de dissociation, lointaines mais persistantes, et aux éclats de lucidité qui les traversent aujourd’hui.
Les miroirs ont raison (The Mirrors Were Right) quand la perception de soi-même est dans le rouge, mais heureusement vivante (luckily alive), avec la tête hors de l’eau, quelque part entre la surface et les nuages.
« Pour le clip, on voulait représenter une perception fragmentée de soi, le regard intérieur distordu, les identités qui évoluent au fil du temps. Vu à travers un regard cubiste et surréaliste, un monde ressenti, pas observé. Les images dérivent et se reforment, au gré de la chanson. Une méditation sur la multiplicité. Le soi devenu pluriel. »
Accompagnée des musiciens Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert, Hush tisse une œuvre d’une grande richesse sonore où les textures psychédéliques côtoient une écriture mélodique raffinée. Réalisé en collaboration avec et façonné par René Wilson, The Mirrors Were Right allie sensibilité et précision, livrant une œuvre où l’émotion se mêle à la lumière, comme une vérité qui se dérobe aussitôt révélée. Inspiré par des artistes aussi variés que Broadcast, The Velvet Underground, Melody’s Echo Chamber, Steve Lacy, Cocteau Twins et Ariel Pink, Hush façonne un mirage sonore à la fois empreint de nostalgie et tourné vers l’avenir. Sa musique habite cet espace flou où mémoire et hallucination se rencontrent, une invitation à se laisser dériver dans leur univers, dans leur salle de miroirs.
The Mirrors Were Right est disponible sur toutes les plateformes, sous l’étiquette Simone Records.
Né de la rencontre entre Paige Barlow, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert, Hush s’inscrit dans la nouvelle vague d’artistes qui redéfinissent la pop psychédélique montréalaise. Leur univers sonore agit comme un prisme où l’art rock, le jazz, le krautrock, la musique surf et la pop rêveuse se transforment en une matière à la fois cinématographique, sensible et profondément humaine. Telle une image captée dans son mouvement, la musique de Hush invite à regarder plus attentivement… puis lance le défi d’en détourner les yeux.
À mi-chemin entre la prière pop et la méditation existentielle, cette pièce met en lumière tout le savoir-faire du groupe, guitares lumineuses aux reflets changeants, percussions analogiques qui se déforment comme des souvenirs lointains, vagues de synthétiseurs d’inspiration kosmische et harmonies vaporeuses qui se déploient dans un espace sonore suspendu entre veille et sommeil.
La voix de Paige Barlow y agit comme une incantation murmurée, transportant l’auditeur dans un univers rempli de mystère : « The sky is our mirror, made of sweet dreams… which myth are you living ? » Les paroles lui sont venues alors qu’elle repensait à de longues périodes de dissociation, lointaines mais persistantes, et aux éclats de lucidité qui les traversent aujourd’hui.
Les miroirs ont raison (The Mirrors Were Right) quand la perception de soi-même est dans le rouge, mais heureusement vivante (luckily alive), avec la tête hors de l’eau, quelque part entre la surface et les nuages.
« Pour le clip, on voulait représenter une perception fragmentée de soi, le regard intérieur distordu, les identités qui évoluent au fil du temps. Vu à travers un regard cubiste et surréaliste, un monde ressenti, pas observé. Les images dérivent et se reforment, au gré de la chanson. Une méditation sur la multiplicité. Le soi devenu pluriel. »
Accompagnée des musiciens Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert, Hush tisse une œuvre d’une grande richesse sonore où les textures psychédéliques côtoient une écriture mélodique raffinée. Réalisé en collaboration avec et façonné par René Wilson, The Mirrors Were Right allie sensibilité et précision, livrant une œuvre où l’émotion se mêle à la lumière, comme une vérité qui se dérobe aussitôt révélée. Inspiré par des artistes aussi variés que Broadcast, The Velvet Underground, Melody’s Echo Chamber, Steve Lacy, Cocteau Twins et Ariel Pink, Hush façonne un mirage sonore à la fois empreint de nostalgie et tourné vers l’avenir. Sa musique habite cet espace flou où mémoire et hallucination se rencontrent, une invitation à se laisser dériver dans leur univers, dans leur salle de miroirs.
The Mirrors Were Right est disponible sur toutes les plateformes, sous l’étiquette Simone Records.
Né de la rencontre entre Paige Barlow, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert, Hush s’inscrit dans la nouvelle vague d’artistes qui redéfinissent la pop psychédélique montréalaise. Leur univers sonore agit comme un prisme où l’art rock, le jazz, le krautrock, la musique surf et la pop rêveuse se transforment en une matière à la fois cinématographique, sensible et profondément humaine. Telle une image captée dans son mouvement, la musique de Hush invite à regarder plus attentivement… puis lance le défi d’en détourner les yeux.
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