
2025-10-02
Voleur-ornithologue
Musique pour planches
Francis Mineau vit à Montréal, dans le district François-Perrault. Depuis très longtemps, il joue de la musique avec des amis, des groupes (Malajube, Axlaustade, Feu la nuit) et accompagne des chanteurs et des chanteuses (Pierre Lapointe, Peter Peter, Les sœurs Boulay, etc.). Il lui arrive parfois de jouer pour le plaisir, en ne pensant à rien en regardant le téléjournal. Il joue aussi avec ses enfants et avec les chats. Il enregistre, réalise et mixe des chansons (Lucill, Hippie Hourrah, Sunfields, etc.). De temps à autre il compose de la musique instrumentale à la maison et il aime beaucoup ça. Il adore les beats de drum, le baseball, les soupes tonkinoises et une panoplie d’autres choses variées qui n’ont que très peu de liens entre elles.
Ça ne se prend pas au sérieux, tout en étant un peu sérieux. Ce n’est pas drôle, mais tout de même un peu. C’est une ode à la jeunesse et aux rouli-roulants ; une ode aux oiseaux, à l'amitié, aux sons variés de la vie. Musique pour planches est une musique pour personnes, elle s’adresse à tout le monde. Elle voudrait être ce qu’est un vent chaud qui passe doucement dans des cheveux quand il fait beau, l’été, au parc Beaubien.
" Mike est venu enregistrer ses pistes de saxophone à la maison et il a improvisé pendant un moment sur différentes sections de la pièce. Une de ses lignes m’a rappelé le thème musical du téléroman Des dames de cœur, pour lequel je n’avais pas particulièrement d’attirance, mais dont j’aimais le générique. Ça m’a fait rire, je l’ai gardée. Par ailleurs, la pièce est librement inspirée des chansons peu hop-la-vie de Bob Marley (War, Them belly full, etc.), qu’une amie m’a fait découvrir durant nos trajets d’autobus vers la polyvalente. J’ai pensé que la rencontre improbable de Bob Marley et Des dames de coeur pouvait être intéressante. Sinon, c’est l’histoire d’un cambriolage nocturne, mon guide Peterson des oiseaux d’Amérique du Nord, ma paire de jumelles d’enfance, quelques factures sans importance, les résultats de 4 années de mini-putt, tout ça envolé… Pfuit. Voleur-ornithologue, je ne t’oublierai pas de sitôt. "
Ça ne se prend pas au sérieux, tout en étant un peu sérieux. Ce n’est pas drôle, mais tout de même un peu. C’est une ode à la jeunesse et aux rouli-roulants ; une ode aux oiseaux, à l'amitié, aux sons variés de la vie. Musique pour planches est une musique pour personnes, elle s’adresse à tout le monde. Elle voudrait être ce qu’est un vent chaud qui passe doucement dans des cheveux quand il fait beau, l’été, au parc Beaubien.
" Mike est venu enregistrer ses pistes de saxophone à la maison et il a improvisé pendant un moment sur différentes sections de la pièce. Une de ses lignes m’a rappelé le thème musical du téléroman Des dames de cœur, pour lequel je n’avais pas particulièrement d’attirance, mais dont j’aimais le générique. Ça m’a fait rire, je l’ai gardée. Par ailleurs, la pièce est librement inspirée des chansons peu hop-la-vie de Bob Marley (War, Them belly full, etc.), qu’une amie m’a fait découvrir durant nos trajets d’autobus vers la polyvalente. J’ai pensé que la rencontre improbable de Bob Marley et Des dames de coeur pouvait être intéressante. Sinon, c’est l’histoire d’un cambriolage nocturne, mon guide Peterson des oiseaux d’Amérique du Nord, ma paire de jumelles d’enfance, quelques factures sans importance, les résultats de 4 années de mini-putt, tout ça envolé… Pfuit. Voleur-ornithologue, je ne t’oublierai pas de sitôt. "
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